#initiation à la chimie organique
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physikcollege · 1 year ago
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reflexionsnouvelles · 7 years ago
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Algo Paint : Le pari fou d’une start-up qui a créé une peinture saine, à base d’algues
INITIATIVE LOCALE – L’entreprise bretonne Algo Paint a développé une peinture fabriquée à base d’algues de la région. Tout aussi efficace que ses grandes sœurs issues de la chimie du pétrole, la gamme de peinture Algo est donc écologique mais aussi locale et moins chère. La start-up a remporté le 2e prix du public de My Positive Impact, organisé par notre partenaire, la Fondation pour la Nature et l’Homme.
La peinture est partout autour de nous, sur les murs de nos logements ou de nos bureaux, ou encore dans tous les établissements que nous fréquentons (hôpitaux, crèches, administrations, supermarchés…. ). La grande majorité de ces peintures sont fabriquées par les cinq plus grandes entreprises internationales. Et toutes fabriquent de la même manière leurs pots destinées aux professionnels ou aux consommateurs : à l’aide de la chimie du pétrole.
C’est pour casser ce schéma et survivre dans un secteur très concentré que l’entreprise bretonne Félor décide d’innover grâce aux algues, sous l’impulsion de son directeur général, arrivé en 2000 à la tête de l’entreprise, fondée par sa belle-famille. « Le projet d’Algo s’est construit sur trois valeurs fortes. Fabriquer des peintures à partir de la chimie végétale, plutôt que de la chimie du pétrole. Utiliser des ressources locales et renouvelables issues de notre région. Et proposer aux utilisateurs des produits sains », explique Lionel Bouillon, président d’Algo Paint, qui a développé le projet devenu en 2015 une entreprise distincte de Félor qui a « incubé » la jeune pousse. L’idée même du projet est également locale, puisque que le jeune président s’est inspiré d’une belle réussite entrepreneuriale de la région, basée à La Gacilly, qui innove en matière de chimie végétale depuis des décennies. « Nous nous sommes dit que si Yves Rocher réussi à fabriquer des cosmétiques à partir d’algues, pourquoi nous ne pourrions pas faire de même avec la peinture », nous rapporte Lionel Bouillon.  
À lire aussi : La spiruline sera-t-elle l’aliment miracle du XXIe siècle ?
Sans solvant, ni odeur
Une fois l’idée lancée en 2008, une longue étape de recherche et développement démarre, en partenariat notamment avec l’école nationale supérieure de chimie de Rennes et le centre d’études et de valorisation des algues (CEVA). « Durant quatre années, tous les bénéfices de Félor ont été investis dans ce projet », souligne le président. Puis en 2012, un premier prototype est testé. A partir de là, tout s’enchaîne : la startup est repérée par la chambre de commerce et d’industrie, elle remporte plusieurs Prix qui lui offre une visibilité bienvenue. La dernière en date : le Prix du public du Trophée My Positive Impact organisé par la Fondation pour la nature et l’Homme (FNH).
En 2014, Leroy Merlin est la première enseigne de bricolage à proposer le produit dans ses rayons, depuis suivie par d’autres. Pour cause : chez le consommateur de plus en plus soucieux de l’air intérieur, les arguments font mouche. Alors que la peinture est une source majeure de pollution intérieure, renforcée par l’isolation toujours plus importante des bâtiments, Algo fabriquée à 98 % de matières biosourcées est sans solvant ni odeur. Ses composés organiques volatils (COV) sont 10 fois inférieurs à une peinture classique, avec moins de 1g de COV par litre, rangeant de fait la gamme Algo dans la catégorie A+ en termes de qualité de l’air.
Prix attractif
De plus, le produit se veut responsable sur toute la ligne : les emballages sont fabriqués à partir de matières recyclées et le conditionnement est réalisé par des travailleurs handicapés en Esat (établissement et services d’aide par le travail). Goutte de peinture sur le pinceau : le tarif de ces pots de peinture est moins élevé que celui de ses concurrents, mastodontes du marché.
Des secteurs comme ceux du bien-être, de la petite enfance ou de la santé plébiscitent déjà cette peinture saine et responsable, qui compte également une gamme professionnelle commercialisée sous la marque Algo Pro. La marque compte comme réalisation la rénovation de 25 chambres d’hôpital pour enfants, financée par l’association de lutte contre la mucoviscidose Grégory Marchal. Autre projet : le chai où sont embouteillés les Cognac Hennessy-LVMH, assurant la qualité du produit.  
Si au départ, le projet était sujet de critiques et de raillerie dans le secteur, aujourd’hui il est la promesse d’un renouveau sur le marché, vers lequel, on n’en doute pas, les géants de l’industrie se tourneront très prochainement. En attendant, c’est en Bretagne, à partir de ressources locales, qu’une start-up pleine d’ambition se positionne dans l’air (moins pollué) du temps.
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qub-corse · 5 years ago
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La Demeure du Chaos
07/03/2020 - Actualité et Société
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St-Roman en Mont d’Or est une charmante bourgade à 10km de Lyon. C’est là que l’excentrique business man Thierry Erhmann a décidé d’installer la “DEMEURE DU CHAOS”, sorte de Palais du Facteur Cheval en mode Steampunk.
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Thierry Ehrmann, fils d’un riche industriel de la chimie, a fondé Artprice, premier marché et site internet de cotation du marché de l’art en 1997. Le succès est foudroyant. Lui-même plasticien, il initie dès 1999 l’idée d’une exposition permanente d’oeuvre d’art post-apocalyptique dans un ancien relais de poste de ce petit village bucolique du Rhône.
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S’étendant sur 12000 m², le chaos mêlent de nombreux tags, œuvres de street- art, de citations plus ou moins sibyllines, plus ou moins sérieuse, plus ou moins pertinentes mais qui pour la plupart prennent la société de consommation pour cible, de crânes géants et argentés, d’épaves de voitures, de portraits géants, carcasses d’avions, d’hélicos crashés ou de poutrelles rouillées.
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Ce musée original et surprenant est gratuit et accueille chaque année environ 120 000 visiteurs qui viennent voir les 63 000 œuvres qui composent ce chaos organisé et organique. La visite est gratuite et les visiteurs peuvent même repartir avec un poster souvenir.
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Toutefois, ce succès n’est pas du goût de tout le monde. Situé dans un village à l’architecture médiéval en pierre et classé par les bâtiments de France, Thierry Ehrmann et son armée d’avocats bataillent depuis 2012 avec la Mairie du village qui exige son démantèlement. Plusieurs années plus tard, la demeure du Chaos est toujours debout, chaotique mais debout.
De l’avis de ceux qui l’ont visitée, si l’ensemble peut paraître lugubre et oppressant dans cet univers digne de Walking Dead, il ressort rapidement de ce joyeux bordel organisé une expérience exaltante, cathartique et libérateur.
Si du chaos surgit la lumière, alors, ça ne pourra être qu'en sa demeure.  
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reseau-actu · 6 years ago
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Les algorithmes d’intelligence artificielle sont parfois des boîtes noires aux règles inaccessibles. Pour comprendre le comportement des machines qui en sont dotées, nous devons créer une nouvelle discipline scientifique, comme nous avons créé l’étude du comportement animal. C’est le point de vue de Jean-François Bonnefon qui, avec 22 autres scientifiques, vient de signer une tribune dans la revue Nature.
Image tirée du film d'animation WALL- E (Andrew Stanton, 2008).
Image tirée du film d'animation WALL- E (Andrew Stanton, 2008).
® Walt Disney Pictures / Pixar Animation Studios /Collection Christophe L
® Walt Disney Pictures / Pixar Animation Studios /Collection Christophe L
Nos interactions sociales, culturelles, économiques et politiques font une place grandissante à un nouveau type d’acteurs : les machines dotées d'une intelligence artificielle. Ces machines filtrent les informations qui nous parviennent, nous guident dans la recherche d’un conjoint, et conversent avec nos enfants. Elles échangent des titres sur les marchés financiers, elles conseillent les juges et les policiers. Bientôt, elles conduiront nos voitures et feront la guerre à notre place. Si nous voulons garder ces machines sous contrôle, en tirer les plus grands bénéfices et en minimiser les dommages potentiels, il nous faut comprendre leur comportement.
Comprendre le comportement des machines intelligentes est un objectif plus large que de comprendre leur programmation. Parfois, la programmation d’une machine n’est pas accessible, par exemple quand son code est un secret industriel. Dans ce cas, il est nécessaire de comprendre une machine de l’extérieur, en observant ses actions et en mesurant leurs conséquences. D’autres fois, il n’est pas possible de prédire complètement le comportement d’une machine à partir de son code, parce que ce comportement va changer de façon complexe quand la machine s’adaptera à son environnement, par un processus d’apprentissage certes guidé mais ultimement opaque. Dans ce cas, il est nécessaire d’observer en continu ce comportement et d’en simuler les évolutions potentielles. Enfin, même quand l’on peut prédire le comportement d’une machine à partir de son code, il est difficile de prédire comment les actions de la machine vont changer le comportement des humains (qui ne sont pas, eux, programmables), et comment les actions des humains vont en retour changer le comportement de la machine. Dans ce cas, il est nécessaire de mener des expériences pour anticiper la coévolution culturelle des humains et des machines.
Une nouvelle science pour observer les machines
Afin de relever tous ces défis, nous devons créer une nouvelle discipline scientifique, dédiée au comportement des machines, comme nous avons créé la discipline scientifique du comportement animal. On ne peut comprendre le comportement des animaux uniquement sur la base de la génétique, de la chimie organique ou de l’anatomie cérébrale : on a également besoin de méthodes observationnelles et expérimentales, étudiant l’animal dans son environnement ou en laboratoire.  
Il est difficile de prédire comment les actions de la machine vont changer le comportement des humains et comment les actions des humains vont en retour changer le comportement de la machine. Il est alors nécessaire de mener des expériences pour anticiper la coévolution culturelle des humains et des machines.
De la même façon, on ne peut comprendre le comportement des machines intelligentes uniquement sur la base de l’informatique ou de la robotique : on a également besoin de spécialistes du comportement entraînés aux méthodes expérimentales dans les champs de la psychologie, de l'économie, des sciences politiques ou de l'anthropologie.
Une discipline scientifique n’est jamais créée de toutes pièces. Le comportement des animaux était étudié par de très nombreux scientifiques bien avant que l’étude du comportement animal ne soit formalisée en tant que discipline structurée et indépendante. De la même façon, de nombreux scientifiques se reconnaîtront dans la discipline du comportement des machines, une fois que cette discipline sera structurée et identifiée. Mais le plus important est qu’ils et elles se reconnaîtront entre eux, bien plus facilement qu’aujourd’hui.
En rassemblant ce qui est aujourd’hui épars, nous permettrons aux chercheurs en comportement des machines de s’identifier mutuellement et d’organiser leur coopération au travers des frontières disciplinaires actuelles ; nous permettrons aux pouvoirs publics et aux agences de régulation de s’appuyer plus facilement sur un corpus scientifique aujourd’hui dispersé et difficile d’accès ; et nous permettrons aux citoyens de s’orienter plus lucidement dans un monde bouleversé par l’émergence des machines intelligentes.
On ne peut pas prévoir à 100 % le comportement des robots qui apprennent en permanence de leurs interactions avec leur environnement. Selon Jean-François Bonnefon, il faut créer une science du comportement des machines pour les observer de manière expérimentale.
On ne peut pas prévoir à 100 % le comportement des robots qui apprennent en permanence de leurs interactions avec leur environnement. Selon Jean-François Bonnefon, il faut créer une science du comportement des machines pour les observer de manière expérimentale.
C’est là la motivation d’un appel aux chercheurs, aux décideurs publics, et aux entreprises qui façonnent les machines intelligentes, que j’ai récemment publié dans la revue Nature avec 22 coauteurs européens et américains, informaticiens, sociologues, biologistes, économistes, ingénieurs, politistes, anthropologues et psychologues, chercheurs dans des organismes de recherche publique, universitaires, ou employés par les géants de l’intelligence artificielle que sont Microsoft, Facebook ou Google. Nous y examinons les grandes questions susceptibles de fonder le champ du comportement des machines, inspirées par les questions qui ont fondé le champ du comportement animal.
Comment un comportement est-il façonné puis évolue-t-il ?
Parmi ces grandes questions figure celle des incitations sociales et économiques qui ont façonné le comportement initialement attendu d’une machine. Par exemple, quelle est la métrique que tentait initialement de maximiser un algorithme de filtrage d’information sur les réseaux sociaux et quels sont les effets psychosociaux inattendus de cet objectif initial ?
Autre type de grandes questions : par quels mécanismes un comportement a-t-il été acquis et par quels mécanismes a-t-il été modifié ? Par exemple, sur quel type de données un algorithme de police prédictive a-t-il été initialement entraîné ? Si ces données étaient biaisées contre un groupe social particulier, l’algorithme est-il susceptible d’amplifier ce biais par ses décisions et ainsi d’entrer dans une spirale d’injustice ?  
En rassemblant ce qui est aujourd’hui épars (…), nous permettrons aux citoyens de s’orienter plus lucidement dans un monde bouleversé par l’émergence des machines intelligentes.
Savoir dans quel environnement un comportement peut se maintenir ou se propager, et dans quel environnement il est voué à disparaître, fait aussi partie des grandes questions que nous avons examinées. Par exemple, une archive ouverte d’algorithmes pour voitures autonomes peut-elle permettre à la programmation d’un modèle de voiture de se propager rapidement à tous les autres modèles, avant même qu’un quelconque problème puisse être détecté par le régulateur ?
Toutes ces interrogations doivent être déclinées à l’échelle d’une machine isolée, d’une machine interagissant avec d’autres machines, et à l’échelle des collectifs hybrides formés par les humains et les machines. Toutes sont essentielles, mais elles sont aujourd’hui étudiées en ordre dispersé par des communautés qui peinent à se reconnaître. Rassembler ces communautés sous la bannière de la nouvelle science du comportement des machines sera une étape décisive pour prendre harmonieusement le tournant de l’intelligence artificielle. ♦
Les points de vue, les opinions et les analyses publiés dans cette rubrique n’engagent que leur auteur. Ils ne sauraient constituer une quelconque position du CNRS.
Source: CNRS Le journal
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ecig-zen-blog · 6 years ago
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La cigarette électronique : un danger réel pour la santé ?
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Arte vient de diffuser un reportage qui souligne particulièrement la dangerosité de la cigarette électronique sur la santé.
Alors, qui et que croire ?
Le Professeur Riccardo Polosa de l’Université de Catane déclare que  : "les vapoteurs devraient être plus préoccupés par l’air qu’ils respirent dans les villes polluées plutôt que de la vapeur de leurs e-cigarettes.". Son étude  publiée en 2017 dans la prestigieuse revue Nature, à l’occasion de l’EcigSummit de Londres, démontre pour la première fois que “malgré les inquiétudes pour la santé, les vapoteurs au long cours, qui n’ont jamais fumé de leur vie, n’encourent aucun risque.”
"C’est la quantité d’un composé qui détermine son risque et sa toxicité."
Le Dr Farsalinos, chercheur au Centre de chirurgie cardiaque Onassis d’Athènes et à l’Université de Patras en Grèce, mène depuis 2011 de nombreuses études pour faire avancer la recherche scientifique sur l'ecigarette,  et explique clairement en 2015 que, "bien que la présence de ces métaux soient réelle, leurs quantités très minimes ne peuvent entraîner d’effet sur le corps humain à court ou long terme". Un utilisateur moyen serait exposé à des quantités 4 à 40 fois plus faibles pour la plupart des métaux que lors de la prise de la dose quotidienne maximale d'impuretés dans les médicaments. Il évoque ainsi le besoin de vapoter 100 ml de e-liquide par jour pour créer le moindre effet, soit 17000 respirations journalières (un vapoteur moyen atteint 600 bouffées par jour).
Les résultats d'une étude menée par le  Conseil espagnol pour la recherche scientifique (CSIC) en 2015 a montré essentiellement que l'air intérieur et la respiration normale expirée contiennent plus de Composés Organiques Volatiles que l'aérosol d'e-cigarette : 17 et 25 COV dans les 2 e-cigarettes testées, 36 COV dans l'air intérieur et 42 dans l'air expiré normal (non-fumeur, non vapoteur). La fumée de cigarette du tabac contenait 86 COV, et l'air expiré après avoir fumé contenait également un grand nombre de COV. Fait intéressant, des composés toxiques, absents dans l'aérosol de l'e-cigarette, ont été relevés dans l'haleine expirée. Par exemple, l'isoprène, répertorié comme un composé cancérigène en Californie Proposition 65 était présent seulement dans la respiration exhalée (même normale), non dans l'aérosol.
Concernant les émissions de métaux lourds et autres composés organiques volatiles, l'AFNOR a pris comme références dans sa norme les valeurs guides de la qualité de l'air intérieur (VGA) pour une exposition de 24 heures. Les résultats ont montré qu'en prenant 200 bouffées d'ecig en fonctionnement normal :
- on n'inhale pas plus d'aldéhydes potentiellement toxiques que dans un local clos répondant aux normes de pollution de l'air intérieur des maisons ;
- la e-cigarette émet moins de métaux qu'autorisé lors des prises quotidiennes de médicaments inhalés.
Effectivement, le système respiratoire n’est pas doté des enzymes et des voies métaboliques de détoxification présentes dans le système digestif. Les aldéhydes ne sont pas employés dans la fabrication d’arômes puisque non autorisés. Néanmoins, ils peuvent se former par réaction chimique. De ce fait, les arômes alimentaires prévus pour l’ingestion peuvent présenter une toxicité lors de l’inhalation.
Ainsi, chacun comprend que faire son liquide soi-même, ce n’est pas de la cuisine, c’est de la chimie. ll faut être averti et respecter les conseils du fabricant.
Les fabricants responsables proposent des produits pour le DIY avec une composition adaptée et des recommandations de dosage basées sur les analyses des émissions ou sur la composition de leurs arômes. À l’utilisateur de respecter ces préconisations.
Pour assurer la sécurité et l'information du consommateur, la plupart des fabricants de e-liquides se soumettent aujourd'hui aux normes AFNOR et leurs produits sont exempts de colorants ou d'ingrédients dangereux, ainsi que de diacétyle, formaldéhyde, acroléine et acétaldéhide au delà des concentrations inévitables d'impuretés.
Citons pour exemples nos partenaires fabricants de e-liquides français comme VDLV (premier fabricant français à avoir officiellement reçu la certification E-liquide délivrée par AFNOR Certification) ou Sense (filiale du groupe Phodé, qui a œuvré depuis plus de 20 ans pour le mieux-être des êtres vivants en étudiant de près l'impact des molécules olfactives sur l'écosystème cérébral), qui sont des acteurs fortement impliqués en recherche et développement et participent en tant qu'experts aux travaux de normalisation au sein de l'AFNOR (France), du CEN (Europe) et de l'ISO (International) pour garantir aux vapoteurs la qualité des produits de la vape.
Ils soumettent leurs produits à des contrôles rigoureux �� travers plusieurs types d’analyses, notamment :
- la mesure des taux des métaux lourds afin d’assurer aux consommateurs que le produit vaporisé ne contient pas de doses dangereuses et toxiques de métaux.
- l'analyse de la vapeur issue de la vaporisation des e-liquides afin de s’assurer que les parties métalliques de la cigarette électronique ne relâchent pas des quantités importantes de métaux lors de leur chauffe.
Exemples d'études scientifiques menées par le laboratoire Sense :
Etude de l’influence de l’angle d’inclinaison de l’e-cigarette sur la consommation du e-liquide et sur l’émission des aldéhydes. Etude de l’impact du rapport Monopropylène Glycol / Glycérine végétale (PG/VG) sur la consommation du e-liquide et la génération d’aldéhydes. Etude de la constance des masses consommées et des émissions de nicotine selon les critères d’admissibilité de la cigarette électronique pour test. Etude du suivi de la concentration en nicotine dans l'e-liquide avant et après un cycle normé de vapotage afin de vérifier l’homogénéité de la vaporisation du e-liquide. Etude du suivi des émissions de nicotine afin de vérifier la linéarité des quantités émises en fonction du dosage initial de la nicotine dans les e-liquides.
Ainsi, ces laboratoires réalisent des analyses correspondant à un usage normal de la cigarette électronique dans des conditions réelles et sont capables de démontrer par des résultats scientifiques concrets que la vape est bien SAFE !
L’addiction à la nicotine : un mythe ?
Une faible dose de nicotine n'est pas le meilleur choix. C’est ce que montre une étude pilote, financée par Cancer Research UK et publiée dans la revue Addiction. Les comportements compensatoires ne sont pas neutres : les chercheurs ont détecté davantage de formaldéhyde dans les urines des personnes sous dosées en nicotine.
De nombreuses études scientifiques montrent que la nicotine aide à arrêter de fumer, mais s'avère inefficace dans le temps. Ses puissants effets addictifs ne se révèleraient qu'en l'associant à certains composés présents dans la fumée de tabac.
Karl Fagerström lui-même, initiateur du mythe de l'addiction à la nicotine a fini par reconnaître que son fameux "Test de dépendance à la nicotine", omniprésent dans toutes les consultations de tabacologie, devait être rebaptisé "Test de dépendance à la cigarette", tant il ne croyait plus que la nicotine était le seul facteur de la dépendance au tabac.
En 2012, le Pr Molimard, pionnier de la tabacologie en France, communiquait à la  Haute Autorité de Santé ses connaissances scientifiques sur l’effet réel de la nicotine chez les fumeurs dans un document exceptionnel, fruit de 35 années de recherche. Il affirme aujourd'hui que la nicotine n'est qu'un stimulant, comme la caféine, et un placebo pour arrêter de fumer (article Mediapart).
Le Pr Bertrand Dautzenberg, président de Paris sans tabac, pneumologue à la Pitié-Salpêtrière et tabacologue, déclarait récemment :  "quand vous vapotez, vous avez un taux de nicotine dans le sang comme si vous aviez un patch. Au bout de trois mois, 90% à 95% des vapoteurs n'ont presque plus besoin de nicotine. On sort de l'addiction à la nicotine et la plupart des vapoteurs s'arrêtent. Si l'on prend les données de l'eurobaromètre, on voit qu'il y a des millions d'ex-vapoteurs en France, des gens qui étaient fumeurs, qui ont vapoté et qui arrêtent de fumer et de vapoter."
En magasin, nous constatons également que beaucoup de  vapoteurs  commencent spontanément, au bout de quelques semaines, à diminuer leur consommation de nicotine de leur e-cigarette et parviennent progressivement à se libérer de la dépendance physique.
Les idées reçues sur la nicotine sont elles aussi en train de partir en fumée... n'en déplaise au Dr Tobias Rüther...
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